Pour l’occasion, le musée d’Orsay a décidé de lui offrir une place sur sa façade.En effet un flacon de 260 m² composé de plus de 1.200 sequins, tous assemblés à la main,trône fièrement sur la façade extérieur du musée, et s’y installe jusqu’au 28 Janvier.
Le numéro 5 n’habille plus Marylin pendant son sommeil , mais le lieu incontournable et emblématique de la vie culturelle parisienne.
Le premier parfum de Chanel est sans conteste celui le plus vendu au monde et en France, Coco Chanel était désireuse de créer un parfum de femme a l’odeur de femme. Un parfum épuré en accord avec sa mode : « Un parfum artificiel, je dis bien artificiel comme une robe, c’est-à-dire fabriqué. Je suis un artisan de la couture. Je ne veux pas de rose, de muguet, je veux un parfum qui soit un composé. » Ernest Beaux, créateur de parfum a la cour des tsars de Russie, est alors chargé de cette méticuleuse mission. Il présenta à Coco Chanel deux séries d’échantillons numérotés de 1 à 5 et de 20 à 24. Elle choisit l’échantillon n° 5. A la question « quel nom allez-vous lui donner ? », elle répondit : « je lance ma collection le 5 mai, cinquième mois de l’année, laissons lui le numéro qu’il porte et ce numéro 5 lui portera chance ». Pari réussi , car toutes les 55 secondes, un chanel numéro 5 séduit une nouvelle femme, simple coïncidence ?